Da: Valdemir Mota de Menezes, lo scriba
This site defends slavery as a method of criminal punishment and a way of civil indemnity. The Bible both the New and the Old Testament allows slavery. I am against racial slavery and colonial. (By scribe Valdemir Mota de Menezes)
Sunday, November 11, 2012
INDENNIZZO QUOTE RAZZIALI
Da: Valdemir Mota de Menezes, lo scriba
DOMMAGES QUOTAS RACIAUX
PAR; Valdemir Mota Menezes, le scribe
Personnellement, je préfère le quota de places pour les étudiants noirs qui entrent dans les universités. Bien que le chemin est entrée dans l'étude à l'université ne peut pas être remplacé par un autre critère. Il est logique d'accepter que les Noirs victimes de discrimination raciale depuis des siècles et enrichis de nombreux Blancs, les Noirs nés au Brésil n'ont pas le droit à la liberté, dans de nombreuses religions, comme les Mormons, et n'ont pas été acceptés comme membres. Parmi les Témoins de Jéhovah dans le début du XXe siècle ont été invités à s'asseoir à l'arrière de la salle. Les autres églises protestantes et catholiques ont également contribué à la souffrance et à la discrimination des Noirs (Si la piété religieuse l'a fait, imaginez le sans principes éthico-religieuse?). Maintenant, une loi qui favorise avant maltraité est une forme de compensation pour les torts historiques du passé.
Pendant des années, j'avais des doutes sur le bien-fondé de la présente loi, mais avec le recul, les Noirs ont été esclaves pendant des siècles n'a pas eu droit à rien dans le système extrêmement cruel du Brésil. Il n'avait pas le droit de la famille, l'éducation, la liberté de décider de son sort. Au moins trois cents ans, le gouvernement brésilien doit compenser les Noirs. Logique que d'autres groupes ont souffert dans le Brésil colonial, les protestants et les juifs ont été victimes de discrimination, mais rien comparé à un traitement inhumain esclavage et donné aux Noirs.
Je sais que la loi des quotas n'est pas parfait, beaucoup de gens ont profité sans vergogne la prétention d'être noir, quand votre peau est claire, pour bénéficier des droits accordés aux Noirs dans les compétitions et vestibulaires.
J'ai changé d'avis après dix ans, pour être exact, j'ai changé d'avis cette année, après avoir fait une étude de deux mois sur l'ensemble du processus de l'esclavage au Brésil. Il était tellement humiliation, la dégradation est sensiblement la même, il en était lâcheté à l'autre, que même après la liberté des Noirs, avec la Loi d'Or, les agriculteurs blancs lâches préféré brésilien importation étrangère Italiens du travail, japonais, allemand et libanais créer des emplois pour les Noirs.
J'ai changé si radicalement avis, je pense que la compensation monétaire d'un financier aux Noirs, paye pendant trois cents ans, serait également un moyen de compenser l'afro-brésilienne. Encore une fois, les Américains allé de l'avant parce que dans les années 1960, furent les premiers à mettre en place le système des quotas.
Thursday, August 2, 2012
FAMÍLIA ESCRAVA E TRABALHO
UNIVERSIDADE METROPOLITANA DE SANTOS
FACULDADE DE EDUCAÇÃO E CIÊNCIAS HUMANAS
UNIVERSIDADE METROPOLITANA DE SANTOS
FACULDADE DE EDUCAÇÃO E CIÊNCIAS HUMANAS
Friday, April 20, 2012
IMPÉRIO OTOMANO E A ESCRAVIDÃO DE CRIANÇAS
O texto abaixo é do Curso de Licenciatura em História que o Escriba Valdemir Mota de Menezes estudou quando cursava na Unimes – Santos. Todavia, considero tal ato do império Otomano como uma terrível crueldade, usar crianças como escravas e ainda recruta-la para servir no exército. Lamentável que muitos adultos que deveria educar as crianças para o bem, tenha educado-as para a guerra. (Por Valdemir Mota de Menezes, O Escriba)
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Uma das instituições importantes do Império Otomano, que ajudava na
expansão, era o recrutamento de crianças. Esse sistema era feito por meio
de uma seleção entre a juventude indígena (muitos dos quais cristãos),
que era então educada como muçulmano para trabalharem como escravos
pessoais para o soberano ou no exército de janízaros, uma guarda militar
pessoal. Algo que a primeira vista poderia parecer bárbaro e cruel, mas,
para a massa dos habitantes do período e dessas regiões, não e por vários
motivos: havia um sentimento contra o clero que acabava por favorecer
a conversão ao islã; os eslavos também utilizavam escravos; ser escravo
era ter mais valor que qualquer um dos homens livres; a serviço do soberano
eles poderiam fazer uma carreira mais promissora do que como
camponeses livres.
Wednesday, March 14, 2012
FIM DA ESCRAVIDÃO E OS IMIGRANTES
Texto do professor Valdemir Mota de Menezes, o Escriba
Enquanto era interessante para o governo, os ricos fazendeiros e a Coroa Portuguesa, os escravos negros e indígenas eram mantidos no sistema de mão-de-obra útil para mover a economia. Quando o quadro mudou e outros interesses prevaleceram, a América passou a receber trabalhadores imigrantes oriundos em especial da Itália, Japão, Alemanha, entre outros países.
No período do Ciclo da Cana-de-açúcar, os fazendeiros do nordeste tinha a disposição os escravos para trabalharem nas lavouras que alimentavam os engenhos na produção de açúcar para exportação para a Europa. Com o declínio desta cultura, o café passou a ser a nova alternativa agrícola do Brasil, estando em meados do século XIX em franca expansão na região sudeste do Brasil.
No exterior, os movimentos abolicionistas cresciam cada vez mais e o tráfico de escravos passou a ser proibido. Entre os anos de 1840 e 1857 a maioria dos imigrantes eram oriundos da Itália. Estes vinha ao Brasil com a promessa de vida melhor, tendo os gastos da viagem custeado pelos fazendeiros de café. A proposta de trabalho aqui era baseada no conceito de parcerias. O imigrante cuidava da terra e da produção, com a venda da mercadoria, o lucro era divido entre o fazendeiro e o imigrante. Mas devido os abusos dos fazendeiros, as pessoas na Europa perderam o interesse de vir ao Brasil, pois o sistema na prática era de exploração da mão-de-obra dos estrangeiros. Mas ao final do século XIX o sistema de contratação de trabalhadores assalariados deu novo impulso a imigração. Estes imigrantes também abasteceram as fábricas com mão-de-obra especializada.
A importação de mão-de-obra da Europa era diametralmente oposta ao sistema de escravidão, quanto mais o sistema escravocrata perdia força, mais imigrantes eram atraídos para o Brasil. Este processo durou de 1850, quando foi proibido o tráfico de negros. Em 1871 os filhos de escravos eram livres por força da Lei. Finalmente no dia 13 de maio de 1888 a Lei Áurea, extinguia a escravidão no Brasil. Este processo durou 38 anos e foi o suficiente para mudar as bases da mão-de-obra na produção de bens no Brasil. Ainda hoje o Estado e a sociedade brasileira tem uma dívida indenizatória com os negros que foram alforriados, mas sem compensação pelos séculos de serviços prestados na construção do Brasil.
Saturday, December 10, 2011
FRANCE NÉGRIÈRE

Le Scribe Valdemir Mota de Menezes considéré comme une honte pour les soi-disant chrétiens européens, le fait que ceux-ci ont été en utilisant l'esclavage racial, profitant d'Africains noirs et de les utiliser comme des objets dans la colonisation des Amériques. Pourtant, le scribe considère l'esclavage comme un remède qui doit être appliquée comme le paiement des dettes, devraient notamment être appliquée aux criminels qui pouvaient payer leurs plumes à la servitude à la société.
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Source:
http://dp.mariottini.free.fr/esclavage/france-negriere/france-negriere.htm
LA FRANCE NÉGRIÈRE
Histoire de la traite & de l’esclavage en France
Combien de fois la France a crié à la face du monde : « Liberté, Égalité, Fraternité » ou « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits ». Mais cette arrogance du pays des droits de l’homme ne cacherait-elle pas une tache qui souille la mémoire de son histoire ?
AVANT LA TRAITE
Officiellement, depuis le 3 juillet 1315, selon un édit du roi de France (Louis X) «le sol de France affranchit l'esclave qui le touche». Aussi, la traite, initiée par les Portugais en 1441, n'est pas pratiquée en France et il faut attendre 1594 pour voir la première expédition négrière française. Il faut dire que la colonisation française des Antilles est assez tardive ; ce n’est qu’au milieu du XVII° siècle que les îles de Martinique, Guadeloupe, Grenadines, Saint-Domingue, Saint-Martin, Saint Christophe et Saint-Barthélemy seront occupées par les Français. A cette époque, et malgré l’autorisation de déporter des esclaves dans une colonie française (1626) et l’autorisation de la traite par Louis XIII en 1642, les expéditions transatlantiques n’effectuent que le transports de marchandises et d'engagés, qui en échange de la traversée doivent travailler pendant trente-six mois dans une plantation où, comme les Anglais, les colons français pratiquent la culture du tabac. Mais tout bascule en l’an 1674.
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LE DÉBUT DE LA TRAITE EN 1674.
En 1674, influencé par Madame de Maintenon qui a vécu douze ans en Martinique, Louis XIV crée le monopole de la ferme du tabac qui entraîne une chute de son prix et incite les colons à se tourner vers la culture de la canne à sucre, importée du Brésil et beaucoup plus rentable. L’année d‘avant Louis XIV avait dissout la Compagnie des Indes de Colbert (la première compagnie coloniale française mais qui n’importait pas d’esclaves) et fondé la Compagnie du Sénégal pour fournir des esclaves à l'île de Saint-Domingue. C’est ainsi que la traite va devenir la clé de voûte du système colonial : la France qui pratiquait jusqu’ici le commerce en droiture entre France et Antilles se met au commerce triangulaire entre France, Afrique et Antilles et une main d’œuvre servile noire va remplacer les travailleurs européens engagés. Il ne restait plus qu’à réglementer l’esclavage, ce qui sera fait avec le Code noir.
En mars 1685, Louis XIV promulgue le Code noir, préparé par Colbert. Cet édit est basé sur le principe que l'esclave, dépourvu d'existence juridique, est la propriété du maître. Par l’article 44 de ce code, l’esclave noir est déclaré « meuble », c'est-à-dire assimilé à un objet ou une marchandise qui peut être vendue (même aux enchères) ou transmise par héritage.
Si le démarrage de la traite française fut tardif (Bordeaux en 1672, Nantes et Saint-Malo en 1688), il fut progressif. Sous la Régence, le Duc d’Orléans (par les Lettres Patentes de 1716 et 1727) permet aux principaux ports français «de faire librement le commerce des nègres».
Au total, 17 ports français participèrent à plus de 3300 expéditions négrières et Nantes, avec 42% de la traite, fut le principal port négrier français, mais d'autres ports participent à l’armement de navires négriers : La Rochelle, Le Havre, Bordeaux, Saint-Malo, Lorient, Honfleur et même Marseille.

LES ARMATEURS NÉGRIERS FRANÇAIS
Au XVIIIe siècle, en France, l'armement négrier est concentrée entre les mains de 500 familles qui armeront, à Nantes, Bordeaux, La Rochelle, Le Havre et Saint-Malo, quelques 2800 navires pour l'Afrique (une vingtaine seulement de ces familles auraient armé le quart des navires).
Cette aristocratie négrière occupe les places les plus importante dans les sociétés portuaires, et, formant des lobby, ces notables infiltrent aussi les sphères du pouvoir où leur influence leur ouvre les portes. Sous la Restauration, la plupart des maires de ces villes portuaires sont des négriers notoires (entre 1815 et 1830 presque tous les maires de Nantes seront des négriers).
Mais à cause du caractère risqué, financièrement, du trafic négrier, les armateurs français ne se livraient pas uniquement à la traite et avaient d'autres activités (assurance, pêche, négoce), certes moins spéculatives.
LE XVIII° SIÈCLE : L’APOGÉE DE LA TRAITE EN FRANCE
Car les profits sont énormes. Les navires négriers français se rendent d'abord en Afrique pour y charger leur cargaison de « bois d'ébène », nom inspiré par la couleur des esclaves d'Afrique, qu'ils échangent contre la cargaison de traite : un ensemble de marchandise servant à acheter les esclaves (alcool et tabac, poudre et armes à feu, camelote et pacotilles, étoffes et habits).
Sur place, pour entasser le plus grand nombre d'esclaves dans la cale, il faut construire un entrepont qui servait de « parcs à esclaves », rajouter des gaillards, et, pour augmenter la surface disponible, installer des plates formes (faux pont) sur les côtés. Les navires font ensuite route vers les Antilles pour y revendre leur marchandise humaine.
Au retour, le commerce avec les Antilles permet de réexporter les marchandises issues des îles (sucre, café, cacao, tabac) et d’alimenter l’Europe via ses grands ports (Amsterdam, Rotterdam Hambourg, Londres). Au XVIIIe siècle, le commerce français est florissant grâce à l’essor de ses colonies et de la traite. On estime qu’entre 1676 et 1800 la France aurait déporté aux seules Antilles un million d’esclaves.
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Coupe d'un navire négrier
Port de Bordeaux (Manet)
Abolition de l'esclavage (1848)
L’ABROGATION DE L’ESCLAVAGE : UN PAS EN AVANT, UN PAS EN ARRIÈRE
Dans l'Europe des Lumières, l'esclavage et la traite sont de plus en plus critiqués par les philosophes, comme Montesquieu, dans De l'esprit des lois (1748) qui se fait sarcastique vis-à-vis de « ceux qui se disent chrétiens et qui pratiquent l’esclavage » ou encore Voltaire dans Candide (1759) qui dénonce les conditions de vie des esclaves et les mutilations barbares. Mais d’autres encyclopédistes investiront leur fortune dans le commerce triangulaire. En 1788 se crée à Paris la Société des Amis des Noirs et il faut rendre hommage à l’abbé Grégoire qui, sous la Révolution, viendra la rejoindre et publiera sa « Lettre aux philanthropes » en 1790. L’objectif de la Société des Amis des Noirs est l'abolition de la traite et de l'esclavage et ses arguments visent à démontrer l'absence de rentabilité de l'économie de l'esclavage.
L'esclavage sera aboli par la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789, mais sans conséquences aux Antilles. Malgré l’abbé Grégoire qui ne ménage personne (« Parce qu'il vous faut du sucre, du café, du taffia (rhum), indignes mortels, mangez plutôt de l'herbe et soyez justes»), en 1791 l'Assemblée constituante confirme l'esclavage dans les colonies et en 1793 la Convention refuse d'abolir l'esclavage. Mais l’action de la Société des Amis des Noirs permettra à la Convention d’abolir l'esclavage dans les colonies le 4 février 1794. En réalité la Convention décrète que l'abolition de l'esclavage sera limitée à la Guadeloupe et ne concernera ni l'île de la Réunion ni l'île Maurice, peu peuplées (ni la Martinique puisqu’ occupée par les Britanniques).

En mars 1802 l’Angleterre rend à la France la Martinique et Sainte-Lucie qui n’ont pas bénéficié de la loi sur l'abolition de l’esclavage. Napoléon, qui n’est encore que Bonaparte, poussé par son épouse Joséphine, d'origine martiniquaise et dont la famille et les amis avaient de nombreux intérêts en Martinique, rétablit l'esclavage et la traite en mai 1802 « conformément aux lois et règlements en vigueur avant 1789 » et envoie des forces expéditionnaires à Saint-Domingue et en Guadeloupe pour mater les rebellions. Avec beaucoup de brutalité l’ordre est rétabli, ainsi que l'esclavage et l'ancien Code noir de Louis XIV. Mais les révoltés de Saint-Domingue sont victorieux et proclament l’indépendance, en janvier 1804, de la première République noire qui prend le nom d’Haïti. Lorsque Bonaparte rétablit l'esclavage, le commerce négrier bordelais est à son apogée et dépasse même celui de Nantes. En mars 1815, lors des Cent jours après son retour de l'île d’Elbe, Napoléon aligne la France sur la décision du Congrès de Vienne en décrétant l'abolition de la traite négrière.
Pourtant, en juin 1820, Joseph-Elzéar Morenas remet à la Chambre des députés une pétition contre la traite des noirs qui se fait encore au Sénégal et en 1822 l'abbé Grégoire publie Des peines infamantes à infliger aux négriers. Mais jusqu’à la fin de la Restauration, les nouvelles dispositions ne seront pas appliquées, jusqu’à ce que les Journées révolutionnaires (22 au 24 février 1848) aboutissent à l’abdication du roi Louis-Philippe et à la formation du Gouvernement provisoire de la République qui proclame le principe selon lequel « Nulle terre française ne peut plus porter d'esclaves » et nomme (mars 1848) Victor Schœlcher « sous-secrétaire d'État chargé spécialement des colonies et des mesures relatives à l'abolition de l'esclavage » (celui-ci, lors d’un séjour au Sénégal visitera les lieux de la traite sur l’île de Gorée).
Finalement, le 27 avril 1848, un décret du Gouvernement provisoire abolit l'esclavage dans toutes les colonies françaises (en Martinique le 23 mai, en Guadeloupe le 27 mai, en Guyane le 10 août et à la Réunion le 20 décembre). L'abolition de l'esclavage sera inscrite dans la Constitution (art. 6) le 4 novembre 1848 et en 1849 le dernier navire français participe à une expédition négrière. Un commerce négrier, illégal, continue quelque temps mais il se transforme en commerce d'engagés, indiens ou chinois (les coolies).
Pour finir, le 10 mai 2001, le Sénat adopte la loi reconnaissant la traite et l’esclavage comme crime contre l’humanité et, le 30 janvier 2006, la date du 10 mai est retenue pour la commémoration en France métropolitaine de l’abolition de l’esclavage.
Saturday, October 1, 2011
NINETEENTH CENTURY
bullet "There is not one verse in the Bible inhibiting slavery, but many regulating it. It is not then, we conclude, immoral." Rev. Alexander Campbell bullet "The right of holding slaves is clearly established in the Holy Scriptures, both by precept and example." Rev. R. Furman, D.D., Baptist, of South Carolina
bullet "The hope of civilization itself hangs on the defeat of Negro suffrage." A statement by a prominent 19th-century southern Presbyterian pastor, cited by Rev. Jack Rogers, moderator of the Presbyterian Church (USA).
bullet "The doom of Ham has been branded on the form and features of his African descendants. The hand of fate has united his color and destiny. Man cannot separate what God hath joined." United States Senator James Henry Hammond. 3
MY COMMENTARY: In the nineteenth century many learned men cited the Bible to justify the enslavement of blacks. Today, this discourse has become obsolete. I believe in the curse that Noah released the Ham, but I do not think legitimate to enslave people because of the color of their skin. (Text of the scribe Valdemir Mota de Menezes)